Dans les rues de Hanoï
Je n'y suis jamais allé. Au Vietnam. Juste au restaurant Thaï...
Un voyage culinaire.
Un retour vers ce restaurant. Mais dans un lieu différent, plus grand avec jardin. Mais la même cuisine, la même responsable.
Nous arrivons vers vingt heures, l'heure où l'on peut s'asseoir à l'ombre sans trop souffrir de la chaleur. L'heure où l'on peut manger sans transpirer. Et débuter par des cocktails et autres limonades fleuris.
Tchinons, puissions-nous apprécier la suite qui nous attend. Je laisserai les baguettes, trop habitué aux couverts d'ici pour apprendre une nouvelle technique. Ceux de là ont un petit air d'ailleurs tout de même.
Nous débutons, après une mise en bouche genre raviole, par des brochettes de poulet grillé sauce satay.
Je songeais à démarrer une carrière de photographe culinaire lorsque la sommelière m'interrompit pour savoir si j'avais choisi le vin pour accompagner mon plat. Je lui répondis orange et c'est là qu'elle me dit : excellent choix !
Mes amis de la photo me reprocheront d'avoir coupé les mains. Tant pis. Et puis ce furent salade de beignets de crevettes, soupe de boeuf et enfin un kaeng phed ta-lay. Je mis un peu de piment dans ma soupe, et je dois avouer que le piment est pimenté.
La responsable du restaurant était la même que l'an dernier. Oui, j'ai refait le même restaurant dans son nouveau cadre. Huit ans que nous venons en cure ici. On connait les lieux et on refait forcément des choses déjà expérimentées.
Un petit tour dans ce lieu plein de charme. C'est un plaisir de s'y promener.
Nous finissons par une glace au lait de coco, thé vert matcha avec des haricots rouges sucrés, des graines de palmier et de l'ananas confit. Suivi d'un café. Nous quittons l'endroit pour quelques pas dans le village désert à cette heure tardive de la nuit.
Il est temps de reprendre la voiture. Il est déjà demain.
Buvez régulièrement et prenez soin de vous.
Nous arrivons vers vingt heures, l'heure où l'on peut s'asseoir à l'ombre sans trop souffrir de la chaleur. L'heure où l'on peut manger sans transpirer. Et débuter par des cocktails et autres limonades fleuris.
Tchinons, puissions-nous apprécier la suite qui nous attend. Je laisserai les baguettes, trop habitué aux couverts d'ici pour apprendre une nouvelle technique. Ceux de là ont un petit air d'ailleurs tout de même.
Nous débutons, après une mise en bouche genre raviole, par des brochettes de poulet grillé sauce satay.
Je songeais à démarrer une carrière de photographe culinaire lorsque la sommelière m'interrompit pour savoir si j'avais choisi le vin pour accompagner mon plat. Je lui répondis orange et c'est là qu'elle me dit : excellent choix !
Comme j'aime que mes choix soient reconnus excellents. Me voilà considéré comme un fin connaisseur. La caviste belge appréciera tous mes choix avec les plats suivants. Il y eut sans doute une connexion particulière pour arriver à ce point de convergence. J'ai toujours trouvé les belges sympathiques. Anne-Charlotte. Elle était heureuse d'avoir échappé à Marie-Charlotte.
Mes amis de la photo me reprocheront d'avoir coupé les mains. Tant pis. Et puis ce furent salade de beignets de crevettes, soupe de boeuf et enfin un kaeng phed ta-lay. Je mis un peu de piment dans ma soupe, et je dois avouer que le piment est pimenté.
La responsable du restaurant était la même que l'an dernier. Oui, j'ai refait le même restaurant dans son nouveau cadre. Huit ans que nous venons en cure ici. On connait les lieux et on refait forcément des choses déjà expérimentées.
Mélissa. Je la voyais plus métisse à cause de Julien Clerc. Maintenant je m'habitue à la voir plus caucasienne et toujours aussi resplendissante. Vous la devinerez sur la photo.
Un petit tour dans ce lieu plein de charme. C'est un plaisir de s'y promener.
Des animaux sauvages envahissent les murs aux alentours. Ils nous surveillent, sans doute reliés aux satellites chinois espions.
Il est temps de reprendre la voiture. Il est déjà demain.
Buvez régulièrement et prenez soin de vous.
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